Par Dounia Tao
Depuis quelques décennies les Etats africains sont confrontés à un phénomène réel ou nouvel appelé « les enfants de la rue ». Évidemment, on se demande si la rue produit-elle aussi des enfants ?
De plus en plus récurrent, ce phénomène est vécu dans les grandes villes d’Afrique. Particulièrement à Ndjamena dans la capitale tchadienne, on constate avec beaucoup de regret ces derniers temps cette présence massive des mineurs et adolescents généralement des garçons envahissant cette rue. Souvent en petits groupes tenant entre les mains les boîtes de conserves servant à la fois à préparer leurs petits repas et à boire de l’eau quand il le faut. Présents dans les marchés publics, les coins de ces marchés, autour des grillades, fréquents dans les bars et restaurants. Ces enfants clochards victimes de la société sont toujours aux abois des résidus de nourriture abandonnés ou de la bière non finalisée par les clients pour satisfaire leur faim quotidienne. Aussi on les retrouve sur des poubelles à la recherche des objets de moindre valeur ou même des nourritures jetées. Pour répondre à l’exigence de cette nouvelle vie, la consommation de la colle et de la drogue est une condition sine qua non. Cela permet de braver tout danger ou tout obstacle estiment-ils. Une bonne dose de ces excitants provoque en eux l’idée d’agressivités et de vol. S’emparant très souvent des porte-monnaie et autres objets jugés nécessaires pour être revendus.
Exposés à tout risque de maladies, se trouvant dans des conditions d’hygiènes extrêmement dangereuses, cette bande des jeunes constitue un danger public en perspective pour l’avenir de notre pays en voie de développement. Car, forcés par la rue ils ont perdu le bon sens et le sens du respect de l’autre.
Mais comment en sont-ils arrivés là? Pour beaucoup, c’est par le comportement de leurs parents, incapables d’assurer leur scolarité, leur santé quand ils en ont besoin. Les parents désertent la maison en longueur de journée pour s’occuper de la bière dans les maquis et les femmes.
Pour d’autres, suite aux vicissitudes des marâtres qui ont profité de la place de leurs mamans à la suite d’un divorce ou d’un décès dont les pères étant incapables d’agir en leurs faveurs. Etant donné que ces marâtres monopolisent tout, ces orphelins se sont vus obligés de faire recours à la rue en tout désespoir de cause.
D’autres encore, s’indignent que ce soit à la suite de la disparition de leurs parents, étant confiés aux oncles ou tantes lesquels, leur ont soumis à des traitements ignominieux, devenus l’objet de perpétuelles ruses et des menaces sans cesse qu’ils ont préféré la rue.
De tous ces avis, il relève de notre expérience que certains pères de familles prétendent marginaliser leur progéniture au détriment de leurs épouses qui ne sont autres que les marâtres de celle-ci.
On est heureux d’avoir un enfant, mais il ne suffit pas seulement de faire des enfants au profit de la rue. Il faut les éduquer pour le bien être de la société. Un enfant bien éduqué depuis son jeune âge deviendra un adulte heureux. Il pourra utiliser toutes ses forces pour aider ses parents et toute sa société et constitue en même temps les bras valides de son pays. Alors chers parents prenez la peine de garantir dès maintenant l’avenir de vos enfants en leur donnant la nourriture de l’esprit afin d’éviter de les voir trainer dans la rue.
De plus en plus récurrent, ce phénomène est vécu dans les grandes villes d’Afrique. Particulièrement à Ndjamena dans la capitale tchadienne, on constate avec beaucoup de regret ces derniers temps cette présence massive des mineurs et adolescents généralement des garçons envahissant cette rue. Souvent en petits groupes tenant entre les mains les boîtes de conserves servant à la fois à préparer leurs petits repas et à boire de l’eau quand il le faut. Présents dans les marchés publics, les coins de ces marchés, autour des grillades, fréquents dans les bars et restaurants. Ces enfants clochards victimes de la société sont toujours aux abois des résidus de nourriture abandonnés ou de la bière non finalisée par les clients pour satisfaire leur faim quotidienne. Aussi on les retrouve sur des poubelles à la recherche des objets de moindre valeur ou même des nourritures jetées. Pour répondre à l’exigence de cette nouvelle vie, la consommation de la colle et de la drogue est une condition sine qua non. Cela permet de braver tout danger ou tout obstacle estiment-ils. Une bonne dose de ces excitants provoque en eux l’idée d’agressivités et de vol. S’emparant très souvent des porte-monnaie et autres objets jugés nécessaires pour être revendus.
Exposés à tout risque de maladies, se trouvant dans des conditions d’hygiènes extrêmement dangereuses, cette bande des jeunes constitue un danger public en perspective pour l’avenir de notre pays en voie de développement. Car, forcés par la rue ils ont perdu le bon sens et le sens du respect de l’autre.
Mais comment en sont-ils arrivés là? Pour beaucoup, c’est par le comportement de leurs parents, incapables d’assurer leur scolarité, leur santé quand ils en ont besoin. Les parents désertent la maison en longueur de journée pour s’occuper de la bière dans les maquis et les femmes.
Pour d’autres, suite aux vicissitudes des marâtres qui ont profité de la place de leurs mamans à la suite d’un divorce ou d’un décès dont les pères étant incapables d’agir en leurs faveurs. Etant donné que ces marâtres monopolisent tout, ces orphelins se sont vus obligés de faire recours à la rue en tout désespoir de cause.
D’autres encore, s’indignent que ce soit à la suite de la disparition de leurs parents, étant confiés aux oncles ou tantes lesquels, leur ont soumis à des traitements ignominieux, devenus l’objet de perpétuelles ruses et des menaces sans cesse qu’ils ont préféré la rue.
De tous ces avis, il relève de notre expérience que certains pères de familles prétendent marginaliser leur progéniture au détriment de leurs épouses qui ne sont autres que les marâtres de celle-ci.
On est heureux d’avoir un enfant, mais il ne suffit pas seulement de faire des enfants au profit de la rue. Il faut les éduquer pour le bien être de la société. Un enfant bien éduqué depuis son jeune âge deviendra un adulte heureux. Il pourra utiliser toutes ses forces pour aider ses parents et toute sa société et constitue en même temps les bras valides de son pays. Alors chers parents prenez la peine de garantir dès maintenant l’avenir de vos enfants en leur donnant la nourriture de l’esprit afin d’éviter de les voir trainer dans la rue.